News : Vent de panique pour 36 films français en cours de tr

[La Rédaction]

Le groupe Quinta Industries, spécialisé dans la post-production, ainsi que ses différentes sociétés attachées, ont fait l’objet de procédures collectives, règlement et liquidation judiciaire, par le tribunal de commerce de Nanterre. Cette liquidation, entraînant notamment la suppression de 150 emplois, met en péril une partie du cinéma français. Rappelons que le groupe Quinta constitue un acteur important du paysage audiovisuel français. De nombreux producteurs confiaient régulièrement leurs travaux de post-production. Et 36 films français sont  directement menacés par la fermeture des laboratoires techniques prévue cette semaine. Parmi ces titres figurent le dernier Astérix et Obelix, La vérité si je mens 3 ou encore Infidèle de Jean Dujardin. La Fédération des industries du cinéma appelle en urgence à un sauvetage des oeuvres actuellement traitées par le groupe Quinta. Car la saisie des « serveurs » des sociétés du Groupe Quinta pourrait conduire à une perte partielle voire totale des éléments numériques des films en cours de traitement. 
“L’ensemble de ces équipements et réseaux contiennent aujourd’hui près de TROIS CENT MILLIONS D’EUROS de « valeur de production » en cours de traitement, soit 25% de l’investissement annuel du cinéma français !”L’heure est grave pour le cinéma français. La Ficam sollicite un accompagnement des pouvoirs publics pour mettre en place un plan de sauvetage des oeuvres directement en danger. Notez que selon une information Europe 1, un repreneur californien pourrait venir à la rescousse des oeuvres dont les travaux sont toujours en cours. Affaire à suivre...


http://www.hdnumerique.com/actualite/ar ... ement.html

[Spacewolf1]

Parmi ces titres figurent le dernier Astérix et Obelix, La vérité si je mens 3 ou encore Infidèle de Jean Dujardin.

Vu les films j'aurais presque envi de dire que c'est pas grave que Quinta soit en liquidation... Mais avec 150 suppressions d'emploi...

[mynameisfedo]

pas grave: quand on sait qu'une bonne partie de la taxe sur la copie privée permet de financer ce genre de bouses particulièrement onéreuses, moi je dis: tant mieux! le cinéma français ne s'en portera que mieux, avec peut-être de meilleurs scénarios.