maitre du capricorne a écrit :et certaines séries jap ne vérrons certainements jamais le jour (goldorak, candy) à cause de la malhonnetetée de certains éditeurs !
ah bah Goldorak avec ce qui c'est passé, maintenant c'est mort, la TOEI l'ont un peu la (en plus j'étais sur le forum de Declic Images à cette époque et j'ai suivie l'affaire !!!
GOLDORAK, soit on chope les coffret sur ebay (à des prix de fou) soit on attend, on attend, on attend ....
Aprés, est ce que c'est le japon qui ne veut pas du BD en France ou l'éditeur qui n'y trouverais pas son compte
Actuellement, les deux, mais c'est vrai que les éditeurs FR ou Belge (Dybex) ne sont pas pour et de plus sont tous quasi en faillite !! alors investir dans un nouveau formats ou très peu de client potentielles sur ce marché !!!! c'est leur perte assuré !!! Kaze eux essaie... mais déja Kaze leur prix chez eux en DVD est hallucinant (mais alors les BluRay.....) après comme dit Spacewolf1 "
Pour l'Europe on passe par Beez (la filiale de BanDaï) et malheureusement toujours pas de volume 2&3 car BanDaï Japon veut imposer le tarif de 40e l'unité..." oui les Japonais contrôlent tout !!!! et du coup ce n'est pas forcément de la faute de Kaze les prix si elevées (même si sur certaine licence il se font plaisir lol
EDIT: quand je dis que Goldorak c'est mort en voici la preuve !!!!
Après une forte ascension de 2002 à 2005 avec une dizaine de titres nouveaux tous les ans, la société a sorti la série Goldorak en DVD en août 2005. Il a été avéré par la suite que la société n'en avait pas les droits. Après un long imbroglio judiciaire, la société est condamnée à verser 7,2 millions d'euros suite à la décision de la Cour de Cassation.
Le 24 juin 2009, la Cour d’Appel de renvoi confirme la condamnation de première instance, avec toutefois des dommages-intérêts fixés à 4,8 millions d'euros (dont 2,4 millions d’euros à titre privilégié et 2,4 millions d’euros à titre chirographaire). L'arrêt rendu par la Cour d'Appel de renvoi est revêtu de l'autorité définitive de chose jugée, puisque Manga Distribution et Déclic Images n'ont pas formé de pourvoi en cassation.
Toutefois, les deux sociétés condamnées, à titre définitif, pour contrefaçon de droits d'auteur et de marque, ont déposé une requête en interprétation sur la disposition de l'arrêt rendu par la Cour d'Appel de renvoi relative aux dommages-intérêts, s'agissant d'une condamnation in solidum se fondant sur le montant évalué d'après le jugement de première instance. La décision est rendue, à ce sujet, le 27 janvier 2010 et confirme le montant du 24 juin 2009 (fixant 2.4 millions d'euros à titre privilégié au passif du redressement judiciaire de Déclic Images et 2.4 millions à titre chirographaire au passif du redressement judiciaire de Manga Distribution).
Cependant, il reste l’affaire pénale sur le coffret 3 et également celle de l'édition remasterisée de Capitaine Flam, parue en mars 2006, sans que Déclic Images ne dispose d'un contrat de licence digne de ce nom, puisque reposait sur des réserves, du distributeur Rouge Citron, quant à l'effectivité des droits pouvant être concédés. Le producteur japonais a donc déposé une plainte contre X avec constitution initiale de partie civile1.
La société a subi de nombreuses restructurations, un redressement judiciaire et semble dans l'impossibilité d'obtenir des contrats de licence sur de nouvelles séries, ayant perdu la confiance des distributeurs et producteurs japonais.
et la je viens d'apprendre qu'il ont refais la mème chose avec Hajime No Ippo (contrefaçon) Déclic est suicidaire
