Le 2ème opus s'aprête à envahir notre chère Xbox et c'est Eurogamer qui ouvre le bal des tests avec un joli 9/10 à la clef.

Comme l'original, sur un certain plan, Gears 2 est une publicité vivante géniale pour le moteur Unreal 3, qui affiche dans toute leur gloire les animations corporelles, les textures étincelantes et les explosions massives. Même après une année passée sur des jeux visuellement magnifiques, la série d'Epic vous donnera l'occasion de contempler les graphismes les plus splendides que vous ayez jamais vus, même si son monde est si délicieusement laid. Cela dit, sur un autre plan, le jeu est une vitrine pour un développeur dont le talent conceptuel et la technologie ne cessent de s'affirmer. Le premier Gears ralentissait le rythme effréné d'Unreal Tournament – vous forçant à utiliser l'environnement tout autant que l'arsenal d'armes – et la suite continue allègrement dans cette voie, mais au-delà des simples mécanismes, Gears of War 2 s'attache avec un nouvel intérêt à raconter les histoires et à varier l'action. Le fin du fin, c'est qu'il a l'intelligence innée de combiner ces deux aspects.
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